Ah oui! Au fait j'ai vu…

20 sujets de 501 à 520 (sur un total de 576)

Posté dans : Anime & Animation

  • Xanatos
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    Xanatos le #476126

    Little Witch Academia

    Little Witch Academia

    J’ai terminé récemment le visionnage de la série TV de Little Watch Academia et très franchement, j’ai adoré ! 😀

    Avant celle ci, il y avait déjà eu une première OAV ayant un titre éponyme qui était absolument géniale et jubilatoire ainsi qu’une seconde intitulée The Enchanted Parade qui était plus longue, moins inspirée (dû à quelques occasionnels manques de rythme) mais très bonne quand même.

    Tout d’abord, j’ai adhéré totalement au character design à la fois très joli, expressif et cartoonesque, les héroïnes étant très charismatiques, surtout Akko et Sucy (mais j’aime bien Lotte aussi 😉 ).

    L’animation, bien qu’un cran en dessous de celle des OAVs n’en demeure pas moins excellente et de haute tenue pour une série télévisée, elle est moins fluctuante qu’une autre série célèbre de Trigger, Kill la Kill.

    Pour ce qui est des personnages, je me suis immédiatement attaché à Akko: elle est très gaffeuse, maladroite, voire empotée. Pourtant, elle est persévérante, tenace, obstinée et passionnée. C’est la mystérieuse magicienne Chariot qui lui a insufflé sa passion et elle rêve d’être aussi talentueuse que son idole.

    Alors que la magie est enseignée de manière austère et rébarbative par plusieurs professeurs (sauf la sympathique Ursula), Akko considère la magie comme fantastique et merveilleuse et souhaite qu’elle fasse rêver les gens.

    Plusieurs personnages dans son entourage. On peut citer notamment Diana (un des personnages les plus intéressants de l’oeuvre): elle est très intelligente, extrêmement douée et perfectionniste, elle est considérée par ses enseignantes et ses camarades comme l’étudiante de magie la plus talentueuse de l’école.

    Elle apparaît de prime abord comme froide et distante, et pourtant bien que fière, elle n’est jamais arrogante ou méprisante envers qui que ce soit, et, si elle tient parfois des propos durs envers Akko, il lui arrive aussi de l’encourager et de lui faire des compliments quand elle estime que cette dernière a fait du bon travail. C’est agréable de voir que cette rivale, contrairement à beaucoup d’oeuvres, n’agit pas comme une peste.

    J’aime aussi beaucoup Amanda qui a un fort tempérament, elle est un peu garçon manqué et n’a pas sa langue dans sa poche, mais elle est cool et plus sympa qu’il n’y paraît.

    Pour ses meilleures amies, Lotte est très réservée et passionnée par la littérature, elle est un peu la conscience de Akko quand elle va trop loin. Sucy quant à elle est la plus bizarroïde de la bande, affectionnant particulièrement les recettes de champignons vénéneux et les sortilèges sadiques. Elle a cependant un caractère un peu différent, elle est plus cynique et sarcastique, alors que dans les OAVs, elle était plus gentille avec Akko tout en étant étrange.

    Les treize premiers épisodes sont essentiellement indépendants les uns des autres et sont un peu des tranches de vie de nos petites sorcières, bien qu’il y ait un fil rouge, en l’occurrence celui de Chariot: en effet Akko sait qu’elle a disparu du jour au lendemain et veut retrouver sa trace. C’est aussi une quête initiatique où Akko apprend petit à petit (euphémisme !) à maîtriser l’art de la transformation et tente tant bien que mal (surtout mal !) de voler sur son balai. Elle croisera aussi la route de Andrew un jeune aristocrate dont le père hait les sorcières, tandis que lui a un avis plus nuancé sur ces dernières.

    Certains épisodes sont complètement barrés et loufoques, comme le 3e épisode avec la courses des balais volant, son ambiance délirante évoquant avec bonheur Les Fous du Volant de Hanna Barbera, la compétition entre Akko et Amanda vaut son pesant de cacahuètes !

    Quant au 8e épisode où Akko se balade dans la tête de Sucy, il est absolument génial, truffée de trouvailles visuelles très créatives et est à mourir de rire de A à Z ! 😆

    A noter aussi que Hiroyuki Imaishi (Gurren Lagann, Kill la Kill ) a participé à cet épisode ;).

    Il y a aussi quelques belles références faites à Betty Boop et Popeye des frères Fleischer. 🙂

    Dans la deuxième moitié de la série, il y a une continuité beaucoup plus forte entre les épisodes. Un nouveau professeur du nom de Croix fait son apparition et apporte une technologie de pointe au sein de l’école et c’est une ancienne amie de Ursula. De plus, Croix n’est pas aussi honnête qu’elle veut bien le faire croire… Il y a aussi des révélations faites sur Chariot très intéressantes ainsi qu’une quête pour allumer les 7 lumières du sceptre que possède Akko et qui appartenait jadis à Chariot.

    La série demeure plaisante dans cette deuxième partie (à l’exception du 16e épisode très lénifiant), et a quelques pépites telles que le 18e épisode où Akko et Constance la mécanicienne passionnée d’inventions qui est jouissif et délirant et qui fait un bel hommage à Gurren Lagann. Les deux derniers épisodes sont très réussis, le 24e épisode a une conclusion très émouvante, quant au dernier il est très spectaculaire et magnifiquement animé !

    La série n’est cependant pas sans défauts, on pourra déplorer la sous exploitation de Lotte et Sucy, surtout dans la seconde partie alors qu’elles sont bien campées.

    Mais à côté de cela, c’est aussi une série joyeuse, fun, positive, optimiste, pleine de bons sentiments et qui ne sombre jamais dans la mièvrerie. 🙂

    En bref, Little Witch Academia est une très belle série, ma favorite des studios Trigger parmi celles que j’ai vu et que je recommande chaudement si vous voulez voir une série fraîche, drôle et charmante. 🙂

    Elle est disponible sur Netflix (je me suis abonné à la chaîne depuis le mois dernier).

    Quant aux OAVs (qu’il vaut mieux voir avant la série) elles sont disponibles en Blu-Rays Américains All Zone et bénéficient de sous titres français, on peut les voir aussi sur Netflix. 🙂

    Mauser91
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    Mauser91 le #476140

    Une critique très intéressante et qui donne envie de revoir la série ^^ J’ai hâte de voir la suite, surtout après ce final excellent !

    Arachnee
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    Arachnée le #476158

    D’accord avec mon collègue du haut, ça donne envie de voir ça très vite! ^^

    Xanatos
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    Xanatos le #476182

    Merci énormément à tous les deux, je suis ravi que ma critique vous ait plu et qu’elle t’ait donné envie de voir l’oeuvre Arachnée ! 🙂

    Pour ma part, je considère Little Witch Academia comme un “feel good anime”: c’est une série charmante, féerique et qui nous met le coeur en joie. 🙂

    J’ai un gros coup de coeur pour le premier opening qui est extrêmement agréable et plaisant: https://www.youtube.com/watch?v=JRmgL564x8E

    Sinon pour ma part, j’ai vu la série en VOSTFR qui est excellente, toutefois les extraits que j’ai entendu de la VF et les retours positifs de Mauser91 au sujet de celle ci donne envie de la redécouvrir dans cette version également 🙂 :

     

    Claire Tefnin notamment m’a l’air parfaitement à l’aise dans le rôle de Akko !

    C’est appréciable également que les personnages aient conservé les mêmes voix Françaises dans les OAVs et la série TV.

    Lord-Yupa
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    Lord Yupa le #476197

    Cela me paraît très bien, à moi aussi !
    Ceci dit, encore faut-il se trouver les 0AV Blu-rays ; enfin je vais essayer…

    Lord-Yupa
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    Lord Yupa le #476198

    C’est quoi, ce doublon ???!

    Geoff34
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    geoff34 le #479626

    En ce moment, Je regarde Digimon Appmon sur Boing, la dernière série en date de Digimon, mais la bonne nouvelle, c’est que cette série n’est pas passé par Saban contrairement aux saison précédentes, c’est Toei Animation qui produit la version française et l’adaptation est fidèle à la VO, autant vous dire que ça fait plaisir, sachant que la plupart des anime pour les plus jeune se base sur l’adaptation américaine.

    Lord-Yupa
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    Lord Yupa le #481171

    Tiens, Geoff34, je crois que j’ai Boing ; si oui j’essaierai de voir ce “Digimon Appmon”.

    LES BOXTROLLS :
    Vu hier sur France 4.
    Une très bonne surprise ! Car chais pas mais je m’attendais à du tout-venant puéril (à cause du titre assez plat, sans doute). Or non, pas du tout !
    Certes le pitch de base ne jure nullement par l’originalité : des créatures zarbis et moches, pourtant gentilles, perçues comme des monstres et persécutées, notamment par un chef fanatique, et sauvées / réhabilitées grâce à un ou deux enfants, on a vu ça maintes fois. Mais tout le reste est épatant : univers déjanté aux rites et spectacles absurdes, anatomies grotesques, architectures acrobatiques, machines loufoques genre steampunk déglingué, méchant totalement fou et suicidaire au final, décors virtuoses !
    Et en effet le sens graphique de l’animé est renversant, le rythme soutenu, l’intrigue parfaitement menée dans son étrange chantage. Une aristocratie fondée sur la dégustation du fromage et de hauts chapeaux blancs qui en confèrent le droit, fallait l’imaginer !
    L’ambiance, nettement glauque, évoque Numéro 9, cette excellente production Tim Burton, ou encore Coraline du génial Henry Selick. Autant dire que si vous êtes frileux du trauma, évitez de montrer ce film à de très jeunes enfants (moi je n’hésiterais pas, faut pas les élever chez les Bisounours). Justement les deux enfants, surtout la gamine, sont bien caractérisés, authentiques ; le méchant aussi, bel exemple de psychologie du ressentiment et de l’envie obsessive ! Enfin les boxtrolls suscitent tout un monde farfelu mais cohérent et sympathique malgré sa “civilisation” embryonnaire.
    Film à voir, injustement sous-estimé semble t-il !

    Feanor-Curufinwe
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    Feanor-Curufinwe le #486107

    J’avais parlé au début de cette année de plusieurs anime vus en 2016, et de certains que j’avais l’intention de voir (ou revoir). Maintenant, je fais le tour des anime vus cette année !

    Conan l’Aventurier

    J’étais déjà spectateur de la série lorsqu’elle passait au Club Dorothée en 96 (je ne l’avais pas beaucoup suivie lorsqu’elle passait sur M6, en 93), et l’avoir revue de nos jours ne lui a rien retiré de son charme, hormis pour quelques épisodes hideux.
    Une histoire qui, mine de rien, fait évoluer son intrigue, à savoir la quête de Conan pour rendre la vie à ses parents changés en pierre par Ire Amon (ou Wrath Amon en VA), ainsi que les quêtes personnelles de ses compagnons, et qui se termine réellement, ce qui était quand même très rare à cette époque. Y a beaucoup de personnages intéressants, du côté des amis comme des ennemis, et même l’origine de Ire Amon est dévoilée, et donne au vilain plus de personnalité qu’à de nombreux grands vilains des séries du même genre à cette époque, encore une fois.

    Le générique de la version américaine (c’est une production franco-américaine, alors parler de VO pour cette version américaine, je sais pô) est loin du niveau de celui de la VF, chanté par Bernard Minet, beaucoup plus entraînant et sympathique. Vive Bernard Minet pour le coup ! 😀

    Même si le public visé est enfantin, et donc que l’oeuvre originale de Robert E Howard a été très édulcorée (question violence et sexe), on reste sur bon nombre d’aspects assez proche de l’esprit des aventures du cymérien. Par exemple, dans cette série, il peut être tour à tour voleur, pirate, même ninja (ou presque, disons que c’est ce qui s’en approche le plus dans l’univers de Conan), et il a un comportement pas si différent du Conan original. D’ailleurs, certaines histoires reprennent même des passages du roman de Howard.
    Jean Chalopin est aux commandes à partir de l’épisode quatorze jusqu’à la fin, l’épisode 65, surtout à l’écriture, et il parvient à créer des aventures variées et passionnantes. Une série à voir ou revoir, si vous en avez l’occasion !

    Sherlock Holmes :

    En la revoyant aujourd’hui, le fan de Lupin III que je suis ne peut s’empêcher d’y voir un véritable reflet inversé de la série du fieffé fripon filou, le héros de l’histoire étant cette fois-ci celui qui parvient à déjouer les plans des hors-la-loi. Miyazaki n’a réalisé que six épisodes sur les vingt-six que compte cette sympathique série (qui au passage sort bientôt en BR, avec la VOSTF !), mais cela n’enlève rien au plaisir procuré par cette co-réalisation Italo-Japonaise !

    Aika :

    Ou la foire aux plans culottes ! Si la première partie (jusqu’à l’épisode 4 inclu) de cette série d’OVA en sept épisodes est somme toute plaisante à suivre, parce que repompant éhontément un grand nombre de concepts à Nadia, le Secret de l’eau Bleue (Fushigi no Umi no Nadia) de la Gainax, les trois derniers épisodes sont terriblement médiocres, clichés et chiants. Mais pour être honnête, ça ne vole jamais bien haut, dès le début, hein.

    Astro le Petit Robot (1980) :

    Beaucoup beaucoup de censure, et de plus rarement justifiée, dans cette série, qui a bercé ma jeune enfance les dimanches après-midi sur TF1 au milieu des années 80 ! Le doublage est québécois, pour l’info. Je n’ai jamais oublié la voix d’Astro, ni le générique d’intro de la série, et même le jeu à la fin de chaque épisode ! 😀
    Alors, en posant deux secondes les lunettes de la nostalgie, la censure est vraiment trop présente pour pleinement apprécier cette série. Par exemple, chaque fois qu’un adversaire d’Astro est détruit, ou qu’un perso meurt, les ciseaux passent par là, et on a droit à un discours débile expliquant que le gars est parti après avoir compris combien il était dans le tort, ou autre énormité de ce genre ! C’est systématique et ça gâche réellement le plaisir de cette série toujours bien fichue techniquement parlant. Et puis on retrouve également beaucoup de têtes connues de l’univers de Tezuka, du genre Black Jack, Prince Saphir, le Ara aux sept couleurs (Nanairo Inko) …
    C’est un peu comme la série de 2003, dont la vf est la version remaniée par les américains : on change les musiques, on rajoute de l’humour gras et débile, on donne une phrase choc à Astro chaque fois qu’il s’envole, on censure, on change l’ordre des épisodes… Que ce soit pour la série de 80 comme pour celle de 2003, toutes deux excellentes, je vous conseille ardemment de vous pencher sur les versions originales (japonaises donc), facilement trouvables sur le net.
    En passant, qu’est-ce qu’on a eu comme vf massacrées parce que reposant sur les adaptations américaines, fin des années 90 début des années 2000 (Digimon, Yu-Gi-Oh, Medarot, Pokémon, et surtout ce pauvre Gashbell… Emma merci, on a eu droit à la VO en France, même si on n’a pas eu tous les épisodes). Bref.
    A voir pour le plaisir nostalgique, mais difficile d’y revenir ensuite.

    Gurren Lagann :

    Série de la Gainax avec des robots et un ado renfermé sur lui-même, ça pourrait faire penser à une production antérieure du studio, mais ce sont bien les seuls points communs. En fait, il y a plus de lien avec les Mazinger et autres Goldorak du père Go Nagai. J’avais vu les onze premiers épisodes en VF il y a quelques années, mais je n’ai pu voir l’intégrale, soit les 27 épisodes, que ces derniers mois, et c’est un vrai panard !
    Du pur Nekketsu, du vrai, de l’authentique, avec tous les codes inhérents au genre. Ils sont même à ce point présents qu’ils servent de ressorts narratifs. Ainsi, lorsque Gurren Lagann, le robot utilisé par Simon et son “frangin” (qu’est pas vraiment son frangin, mais le lien est très fort entre les deux gars) Kamina, est endommagé, il se répare automatiquement si la force de volonté de son pilote est au maximum ! Un peu comme les chevaliers de bronze dans Saint Seiya, qui se relèvent comme des zombies tant que leur force de volonté les habite ! Oui, du Nekketsu : Ce n’est pas la force de leurs muscles qui les fait bouger, mais celle de leurs convictions ! Forcément, ça va toujours avec le genre, les héros sont donc de grandes gueules, qui sortent de grandes phrases sur les valeurs de l’amitié et du courage.
    Mais le truc est tellement bien dosé qu’on ne vire jamais à la parodie. Et l’histoire est riche, à l’image de son nombre conséquent de personnages, tous plus attachants les uns que les autres. Et c’est beau, hein, très bô. L’animation et les graphismes sont au top, les couleurs pètent, les Ganmen (les robots de la série) sont beaux, classes et originaux.
    J’ai écouté quelques passages en VO, et je le dis tout net, la VF enfonce la VO, à tous les niveaux, synchro, caractère et jeu. Et Thomas Guitard et Geneviève Doang (responsables de l’adaptation, dans le studio Ikoe, qui n’existe malheureusement plus, mais qui a fait de beaux bébés) nous livrent un casting cinq étoiles, avec un nombre de comédiens hallucinant pour une série par rapport aux standards habituels. J’ai beaucoup de chouchous dans ce doublage, mais je dirais que ma plus grande préférence va à William Coryn, impérial en Viral, et Cédric Dumond, qui campe un Kamina de grande classe !
    Pour revenir sur l’oeuvre en elle-même, je préfère la première partie (la guerre contre Lord Génome), mais toute la série est une réussite, et les quelques clins d’oeil à d’autres oeuvres du genre (de chez Go Nagai ou Leiji Matsumoto, principalement), apportent la cerise sur le gâteau ! 😀

    Olive et Tom, le Retour :

    J’ai acheté les deux coffrets de la série (52 épisodes), à pas cher dans un cash. Je l’avais vue sur France 5 dans les années 2000, dans une VF pas aussi marquante que celle de la première série, mais qui avait quand même le bon goût de donner à Kojiro Hyuga / Mark Landers la voix d’Adrien Antoine (que j’entendais alors pour la première fois). Mais en gros, bof. C’est mon avis sur la série.
    D’abord, on a un résumé de la partie abordée dans le premier anime (à savoir les débuts de Tsubasa / Olivier dans la Nankatsu jusqu’à la finale contre la Tôhô), puis c’est la partie internationale du manga avec la coupe du monde junior qui se déroule en France. Enfin, c’est le manga Road to 2002 qui est adapté. L’aspect plus réaliste de cette série lui enlève beaucoup du charme et de la saveur de la série de 1983-86. Et évitons d’aborder le sujet de l’OST comme des OP / ED (surtout les OP / ED… horribles). Même si certains thèmes sont assez bons, on est loin de la force percutante des compositions de Hiromoto Tobisawa pour la première série.
    Pour le plaisir des oreilles… 😀

    Et je parle de réalisme, mais ce n’est même pas le cas. C’est plus réaliste que la première série, mais pas autant que dans le vrai foot (je rigole toujours quand je vois qu’il faut attendre la partie Road to 2002 pour qu’on trouve enfin des entraîneurs qui ont de l’autorité sur les joueurs ! 😆 ), ce qui fait que du coup, c’est bien moins spectaculaire et Nekketsu que la série ou le manga, pour un résultat qui donne l’impression d’avoir le cul entre deux chaises. Pas réaliste, mais pas spectaculaire. Bof. Fade.

    Fuli Culi :

    Autre série de la Gainax, cette fois en six épisodes. Alors, techniquement, ça en jette pas mal. Beaucoup d’expérimentations, ça foire parfois, ça tâtonne, ça tente des trucs, et l’équipe derrière fait de très bonnes choses. Et puis j’ai bien aimé l’épisode 5, qui rend hommage à Lupin III et livre de bonnes scènes de gunfight. Pour le reste, j’ai pas accroché à tout ce délire qui part tellement en vrille que j’ai du mal à en saisir l’intérêt. Excel Saga, dans le même registre, est plus maîtrisé, même Abenobashi, dont je ne suis pas extrêmement fan, est plus maîtrisé. Ah, et la musique d’ambiance est beaucoup trop envahissante, et parfois gênante pour entendre les dialogues.

    Tough :

    Entre 2001 et 2002, trois OVA adaptant le manga de Tetsuya Saruwatari ont été produites, et sorties par chez nous en 2007 grâce à l’éditeur Black Box. Le doublage français est une réussite. Confié à Wantake (un des bébés du studio Ikoe), comment aurait-il pu en être autrement ? 😀
    Je n’ai jamais été fan de MMA, ce qui fait que je ne me suis jamais réellement intéressé à ce titre en manga, pourtant sorti en France. Mais en voyant cette adaptation, j’ai pris beaucoup de plaisir à suivre les combats de Kibô, apprenant à maîtriser le style de combat de son père, le Nadashinkage-Ryû. Beaucoup de passages jouent sur la technique à acquérir plutôt que sur les combats, violents mais réalistes, et plutôt bien animés. Et puis on s’attache facilement à ce gamin, très déconneur et grande gueule. L’ambiance tout au long de ces trois épisodes est vraiment sympathique. Et ça s’intéresse en fait à tous les genres de combats, bien qu’ici on se penche surtout sur le catch. Du coup, c’est pour moi un bonus en plus qui m’a fait apprécier cet anime. Pas impossible que je me penche sur le manga à l’avenir.

    Tiger Mask W :

    Rapidement, j’en avais déjà parlé au début de l’année, après avoir vu les sept premiers épisodes. J’accrochais à l’époque, c’était plutôt joli, et les nombreuses références à l’univers du catch international, ainsi que celles à la première série Tiger Mask me plaisaient beaucoup. La première saison est terminée depuis un bail, j’ai vu ses 38 épisodes, et je garde le même avis, mais on est loin de l’épique et de la violence de la première série. Techniquement, c’est très souvent joli, mais on est là encore loin de la personnalité du trait de Kazuo Komatsubara, mais la comparaison n’est pas très utile.
    Cette série a ses grands moments, mais aussi des passages anecdotiques, c’est juste dommage que la tension ne soit pas suffisamment palpable.
    S’il y a une deuxième saison, je regarderai tout de même. ^^

    "With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
    Star Trek - The Next Generation / The Drumhead

    Benjamin
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    benjamin le #486735

    pour les fans d’intrigues politiques et de robots je vous conseille le visionnage de schwarzesmarken. qui est un tres bon anime ….
    Cela se passe en Allemagne en 1983. C’est l’histoire d’une unité appelé Schwarzesmarken
    qui lutte contre une invasion extra terrestre sur fond d’intrigues politiques et complots en tout genre ceux qui ont apprécié aldnoah zero devraient appréciés schwarzesmarken …
    et j’ai également terminé made in abyss j’ai beaucoup aimé cette anime… ne vous fiez pas a son air enfantin cette histoire est sombre et triste et pleine d’emotion c’est un vrai bijou et les musiques et les animations et les graphismes sont au top de chez top …
    une saison 2 est en cours de production je suis impatient de décovrir la suite !!!

    Tom-Le-Chat
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    Tom Le Chat le #490125

    Ces derniers mois, j’ai vu en vrac :

    New Game saison 2 : c’est dans la continuité de la première saison. C’est pas très original voir même assez guimauve et je ne conseille pas spécialement cette série aux membres du forum. Ceci dit, j’ai tout de même suivi cette série avec assiduité lors de sa diffusion, probablement encore une fois le contexte du studio de jeux vidéo.

    High School fleet : on reprend le concept des jolies filles pilotant des engins de la 2e Guerre Mondiale qui a fait le succès de Girls und Panzer mais en remplaçant les chars par des navires de guerre. GUP jouait à fond la carte du délire, ce qui permettait de faire passer quelques incohérences tandis que HSF essaie d’être un poil plus sérieux et ça marche malheureusement moisn bien. On a donc des bateaux de guerre manoeuvrés par des lycéennes qui se font mystérieusement attaquer par des navires alliés ; la cause de ces attaques est révélée assez tôt dans la série et faut quand-même dire que les scénaristes ne se sont pas trop creusés la tête. Bref, toute cette intrigue, c’est juste un prétexte pour que ces beaux navires de la 2e Guerre Mondiale puisse se bastonner à coups de torpilles et autres canons.
    Une fois qu’on met les aspects dramatiques de l’histoire de côté et qu’on ne se préocuupe pas trop des questions de cohérence, il nous reste une alternance de gags sympas et de batailles navales épiques. C’est pas l’anime de la décennie mais j’ai passé un bon moment tout de même.

    One Punch Man : le pitch de départ est original avec un héros qui bat immanquablement tous ses adversaires d’un seul coup de poing. C’est bien réalisé, les personnages sont plutôt drôles mais ça a quand-même du mal à se renouveler au bout d’un moment. Pour palier à cela, on introduit dans la 2e moitié de la série l’idée d’une ligue professionnelle de super héros en mode télé réalité avec classements et star system. Malheureusement, l’idée arrive un peu tard et ça ne fonctionne pas aussi bien que dans Tiger & Bunny ; les autres super héros n’ont pas le temps d’êtres développés et font un peu trop office de figurants par rapport au personnage principal. C’est une série dont je ne garde pas de souvenir marquant en fin de compte.

    Tamako Market : Dera, un drôle d’oiseau doté de la parole se retrouve par hasard recueilli par Tamako, l’aînée dune famille de vendeurs de mochi (une sorte de gâteau de riz japonais). Tamako est une série tranche de vie au ton léger très amusante mais à qui il est surtout reproché son manque de fond et d’ambition par rapport à d’autres productions Kyoto Animation.
    En vérité, le fond est bien là mais la série ne fait que le survoler, un peu comme quand vous commencez à aborder des sujets délicats dans une conversation et que vos interlocuteurs ont toujours une blague ou une autre pirouette pour changer de sujet.
    Beaucoup de spectateurs détestent le personnage de Dera mais je l’aime bien au contraire ; derrière ses nombreuses facéties, il sait aussi faire preuve d’empathie et trouver quoi faire pour consoler les gens.

    Tamako Love Story : Ce film plutôt court (moins d’1h30) réussit justement à développer tous ces thèmes qui n’étaient qu’effleurés dans Tamako Market. Tandis que la série TV se présente comme une sitcom où les personnages évoluent peu entre le début et la fin, dans Tamako Love Story, les personnages sont en proie au doute et se remettent en question. Et puis Kanna, la fan hardcore de menuiserie, y est encore plus adorable !

    Un dernier point intéressant dans Tamako Market et Love Story, c’est la façon dont sont traités les LGBT, tout simplement comme des gens ordinaires. Il y a d’abord la fleuriste qui est transexuelle mais ce n’est qu’un de ses traits, comme on pourrait dire d’un personnage qu’il est grand ou qu’il aime le rock.
    Il y a surtout Midori dont les sentiments confus pour Tamako sont décrits comme ceux d’une personne ordinaire. Pas de grandiloquence, pas de gags faciles, simplement une jeune fille qui se rend compte qu’elle éprouve peut-être un peu plus que de l’amitié pour sa meilleure amie ; ça a l’air de rien mais je n’ai pas souvvenir d’avoir vu beaucoup d’anime traiter l’homosexualité avec autant de délicatesse. Je ne spoilerais pas grand chose en disant que les sentiments de Midori ne trouveront pas d’écho chez Tamako mais je trouve déjà ça pas mal qu’un anime puisse évoquer l’homosexualité avec un peu de finesse pour une fois.

    Kemono Friends : dans une gigantesque réserve animalière, tandis que les humains ont mystérieusement disparus, les animaux sont devenus des “Friends” : des êtres à forme humaine mais ayant conservé un grand nombre de leurs traits et caractères d’origine. Au milieu de la savane apparaît une “friend” un peu spéciale qui ne se souvient pas de son passé et surtout n’a aucune caractéristique animale particulière. Comme elle porte un gros sac à dos, les autres lui donnent tout naturelement le nom de Kaban (“sac” en japonais). Accompagnée de Serval, une fille énergique et très curieuse, Kaban entame un long périple vers la bibliothèque du parc où elle pourrait peut-être en savoir un peu plus sur ce qu’elle est.
    L’anime était un cas désespéré, le jeu dont il était censé faire la promotion ayant été abandonné juste avant sa diffusion et le studio d’animation se retrouvant un peu livré à lui-même avec un tout petit budget. Pourtant, malgré une réalisation toute en 3D qui fait très cheap, c’est une série qui se révèle agréable à suivre grâce à une histoire pleine de rebondissements et des personnages très attachants. Chaque épisode nous permet de découvrir une nouvelle zone du parc avec de nouveaux personnages extravagants, le tout est entrecoupé d’interviews de spécialistes qui nous décrivent les animaux dont sont dérivés les “friends” que nous venons de rencontrer.
    La série a eu un gros succès au Japon, ce qui a permis de relancer la franchise avec notamment pleins de produits dérivés, mais ça c’était avant le scandale qui a éclaté il y a quelques mois quand le réalisateur Tatsuki a été viré pour des raisons obscures ; pour comprendre l’ampleur du scandale, c’est un peu comme si Lauren Faust avait été débarquée sans ménagements par Hasbro de My Little Pony à la fin de la 1ere saison…

    Litle Witch Academia : j’ai eu un peu de mal à accrocher au début parce que je n’aime pas trop ces histoires où le héros est le mouton noir dont tout le monde se moque mais les choses changent, surtout à partir de l’épisode 3 quand on voit que la détermination d’Akko ne faillit pas malgré les obstacles : n’importe qui aurait rénnoncé à participer à une course de balais quand il se rend compte qu’il ne peut même pas décoller mais pas Akko qui réussit à participer ; personne n’a dit que le balai devait nécessairement se déplacer en volant après tout ! 😀 Pour le reste, je partage l’avis de Xanatos, malgré quelques défauts de rythme et certains personnages sous-exploités vers la fin, c’est une série très fun, bourrée d’action et d’humour. La tournure un peu plus dramatique vers la fin ne m’a pas gêné, ça n’arrive pas comme un cheveu sur la soupe puisque pleins d’éléments étaient déjà là dès le début et ça permet de conclure la série en beauté.

    Et puis je regarde un épisode de Lupin III (1ere saison pour l’instant) de temps en temps. Ca a un délicieux parfum rétro, on retrouve bien l’ambiance des films ou séries live des années 60-70 comme James Bond ou Amicalement Vôtre où des voleurs au grand coeur côtoient milliardaires mégalo, espions internationaux et savants plus ou moins mabouls.

    [Insérez une citation qui donne l'air intelligent ici]
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    Feanor-Curufinwe
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    Feanor-Curufinwe le #490175

    Content que Lupin III première série te plaise ! ^^

    One Punch Man : le pitch de départ est original avec un héros qui bat immanquablement tous ses adversaires d’un seul coup de poing. C’est bien réalisé, les personnages sont plutôt drôles mais ça a quand-même du mal à se renouveler au bout d’un moment. Pour palier à cela, on introduit dans la 2e moitié de la série l’idée d’une ligue professionnelle de super héros en mode télé réalité avec classements et star system. Malheureusement, l’idée arrive un peu tard et ça ne fonctionne pas aussi bien que dans Tiger & Bunny ; les autres super héros n’ont pas le temps d’êtres développés et font un peu trop office de figurants par rapport au personnage principal. C’est une série dont je ne garde pas de souvenir marquant en fin de compte.

    Pour la première partie, je te rejoints. Bien que j’ai aimé voir cette première saison du début à la fin, au bout de quelques épisodes, je commençais à me dire que ça tournait en rond. Mais en ce qui concerne la seconde partie, j’ai vraiment adoré. J’aime beaucoup Tiger & Bunny (mais je n’en ai encore vu que la première partie jusqu’ici), mais j’ai pris plus de plaisir à suivre les déboires de Saitama, et puis le concept du mec qui est déjà le plus puissant à la base, ça apporte de nouvelles perspectives au genre je trouve. Et puis Saitama se révèle de plus en plus sympathique au fur et à mesure qu’avance l’intrigue, surtout quand il fait face à des super-héros mieux gradés qui ne pensent qu’à leur rang, tandis que lui apparaît de plus en plus comme quelqu’un d’absolument désintéressé (par la gloire ou quoi que ce soit d’autre) et ne cherchant qu’une chose, un adversaire à sa hauteur, comme on peut le voir lors de l’excellent épisode 9 (lorsqu’il affronte le roi des profondeurs).
    Mais il y a aussi beaucoup de perso secondaires intéressants, comme Roulette Rider, archétype parfait du vrai héros épris uniquement de justice, Genos, le disciple de Saitama, ou encore Croc d’Argent, le vieux maître de rang S.
    C’est une question de ressenti personnel bien sûr, mais j’ai en tête beaucoup de passages marquants ! ^^
    Ne serait-ce que le dernier combat de la saison, contre Boros, ou encore les fois où Saitama fait montre de son héroïsme ! Et puis cet OP de la classe ! *____*

    Du grand Kageyama ! 😀

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    Xanatos
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    Xanatos le #490453

     

    J’ai vu Fireworks de Akiyuki Shinbo et de Noboyuki Takeuchi ce week end, et, c’est triste à dire, mais ce long métrage est une amère déception.

     

    Le character design est pas transcendant, mais correct, quant à l’animation traditionnelle, si elle est la plupart du temps très bonne, il y a quelques moments occasionnels où elle est plus saccadée…

     

    Mais le pire, ce sont les scènes où on voit les protagonistes de loin où ils sont animés en 3D et le résultat visuel jure trop avec leur look “normal”.

     

    Ce film est malheureusement blindé de défauts. Le plus gros problème ce sont les protagonistes qui ne sont pas attachants, très stéréotypés et très énervants.

    Norimichi le héros est très tête à claques avec son caractère indécis, et Yusuke ne vaut guère mieux et a souvent un comportement incohérent.

     

    Au début, il est fou de joie que la jeune fille dont il est épris, la jolie Nazuna veuille sortir avec lui…

    Et puis au bout d’une heure, il change d’avis et ne veut plus sortir avec elle, comme ça d’un seul coup, sans explications.

     

    Quant à Nazuna, si de prime abord, elle paraît mystérieuse ce qui pourrait la rendre attrayante, elle se révèle en fin de compte très irresponsable et immature:

    Spoiler

    elle est furieuse que sa mère se remarie avec un autre homme, elle est triste de devoir déménager et veut fuguer à Tokyo pour devenir… hôtesse dans un bar… Wouuuaaah génial comme perspective d’avenir  😐 .

    [collapse]

     

    J’avais l’impression de voir un sous Your Name ou encore une pâle copie de La Traversée du Temps, le scénario ayant un schéma narratif assez répétitif, ne donnant jamais lieu à des moments qui pourraient nous faire frissonner ou vibrer.

     

    Quant à la fin elle est très nébuleuse.

     

    Les dialogues sont très bateaux et volent au ras des pâquerettes: pendant un paquet de temps, Yusuke déclame “Je vais chier ! Je ne vais plus chier !” et les gamins sont obnubilés par le fait de savoir si les feux d’artifice sont plats ou ronds…

     

    Je n’ai clairement pas aimé ce long métrage: Les personnages sont niais et antipathiques, le scénario est bancal et très ennuyeux, on ne rit jamais vraiment et on est jamais ému par ce qui arrive aux personnages.

     

    Je déconseille fortement Fireworks !

     

    C’est un très mauvais film qui ne vaut pas du tout la peine d’être vu au cinéma !

    Ce n’est pas un feu d’artifice, c’est un pétard mouillé ! 😆

    Veggie11
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    Veggie11 le #490481

    J’avais quelques craintes vis à vis de ce projet, surtout que celui de départ semblait largement plus emballant et plus subtil. Mais bon, l’affiche semblait jolie, alors si les critiques étaient positives j’avais envisagé de le voir… Hé bien un grand merci Xanatos d’avoir pris cette peine de partager tes impressions ^^ J’ai une bien meilleure idée de la qualité dudit film et je m’en passerai donc sans problème, pour privilégier des longs-métrages de bien meilleure qualité parmi les plus récents. Comme quoi on peut faire de très jolies affiches pour un film au final pas terrible…

    Xanatos
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    Xanatos le #490494

    De rien Veggie, c’est tout naturel ! 😉

    Oui, le film est affreusement mauvais, je préférais mettre en garde les Pingouins, aller le voir au cinéma sur grand écran aurait été une perte de temps et d’argent pour eux.

    C’est dommage, l’année dernière, j’avais aimé tous les films animés Japonais que j’ai vu au cinéma: soit je les avais adoré (Your Name, Lou et l’île aux sirènes), soit je les avais beaucoup aimé ( Dans un recoin de ce monde, Mazinger Z Infinity) soit je les avais trouvé très sympas (Hirune Hime rêves éveillés).

    Mais Fireworks, non, ce film est vraiment indéfendable. Le scénario est inepte à souhait et les personnages sont têtes à claque, il est franchement à éviter !

    Veggie11
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    Veggie11 le #490508

    Heureusement d’autres films de bien meilleure qualité sont prévus cette année aussi, comme Mary ou la fleur de la sorcière et j’espère que le second film de Yuasa sortira également en salles. J’attends aussi un film qui sera diffusé dans les salles japonaises le trimestre prochain, également centré sur une histoire d’amour mais qui me semble de  meilleure qualité :

    L’histoire sera centrée sur une jeune fille ne parvenant pas à vieillir qui trouve un bébé mâle abandonné et qui décide de s’en occuper. Peu à peu que l’enfant grandit, une relation amoureuse commence à s’installer.

    C’est Mari Okada (Scénariste sur ”Une femme nommée Fujiko Mine”qui réalisera (en partie) le film. Elle signe également le scénario.

    Arachnee
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    Arachnée le #490509

    Je n’avais même pas entendu parler de ce film. Quelle drôle d’idée de le sortir au cinéma s’il est à ce point mauvais…

    “Mary et la fleur de la sorcière” me fait envie mais j’espère que ça n’est pas trop proche des films du studio Ghibli comme “Arietty” mais que ça prend plutôt ses distances comme avec “Marnie”.

    Xanatos
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    Xanatos le #490525

    Oui en effet Arachnée, c’est étrange.

    Je suppose que Eurozoom a cru que le fait que Fireworks ait été produit par les mêmes producteurs que Your Name (qui a cartonné en France) attirerait en masse le grand public dans notre pays… Mauvaise pioche de leur part, le film semblant se planter en beauté, ce qui, vu sa médiocrité, est amplement mérité !

    J’espère aussi que Mary et la fleur de la sorcière saura se démarquer des films du studio Ghibli et avoir sa propre identité, et si ce n’est pas le cas, je croise les doigts pour que l’histoire soit bien construite. Je suis néanmoins confiant envers ce film prometteur. 🙂

     

    Veggie11
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    Veggie11 le #490527

    J’ai appris hier que le film ”Fireworks” était une réadaptation animée d’un film live de 1993, qui me semble largement plus intéressant et est visiblement considéré comme un classique au Japon. C’est donc vraiment dommage que ce soit cette adaptation qui fasse connaître l’histoire au public occidental !

    Xanatos
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    Xanatos le #490772

    Heureusement d’autres films de bien meilleure qualité sont prévus cette année aussi, comme Mary ou la fleur de la sorcière et j’espère que le second film de Yuasa sortira également en salles. J’attends aussi un film qui sera diffusé dans les salles japonaises le trimestre prochain, également centré sur une histoire d’amour mais qui me semble de meilleure qualité : L’histoire sera centrée sur une jeune fille ne parvenant pas à vieillir qui trouve un bébé mâle abandonné et qui décide de s’en occuper. Peu à peu que l’enfant grandit, une relation amoureuse commence à s’installer. C’est Mari Okada (Scénariste sur ”Une femme nommée Fujiko Mine”qui réalisera (en partie) le film. Elle signe également le scénario.

    Désolé de pas encore avoir répondu à ton message Veggie, j’y remédie de ce pas.

    Ce film semble très beau, l’histoire est originale et elle a l’air vraiment touchante. J’aime beaucoup l’affiche à la fois superbe et apaisante. 🙂

    C’est bon signe que Mari Okada en soit la scénariste, j’avais trouvé le scénario de Lupin III Une femme nommée Miné Fujiko très prenant et surprenant.

    Je croise aussi les doigts pour que le dernier film de Yuasa sorte aussi bientôt chez nous !

    Quant à Fireworks, peut être que le film animé (aussi mauvais soit il) incitera un éditeur à sortir le film live original dans les pays Francophones.

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