Dragon Ball

20 sujets de 321 à 340 (sur un total de 447)

Posté dans : Anime & Animation

  • Cyril
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    Cyril le #486247

    Episodes 28-29 : c’était plutôt sympa, pour des épisodes de transition. Je regrette quand même de n’avoir pas eu la scène du flashback sur le combat entre Beerus et Champa. Dans le manga, elle était vraiment cool., ceci dit, ces épisodes sont globalement bien passés grâce à des passages assez rigolos dus au côté sarcastique des anges ou au caractère colérique de Bulma. je crois aussi que c’est la première fois que sa soeur apparaît dans la série.

    Feanor-Curufinwe
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    Feanor-Curufinwe le #487230
    Dragon Ball Super
    Episode 119
    Kaihi Funô !?
    Stealth Kôgeki no Môi !!
    Inévitable ?!
    La Redoutable Attaque Furtive !!
    “Personne ne peut l’attraper. Ni l’éviter. Vous finirez à bout moralement et physiquement, et au bout du compte, vous serez tous vaincus !”

    Vaincus par Piccolo, Gohan et Gokû, les derniers représentants des Univers 2 et 6 au Tournoi de Puissance ont tiré leur révérence, et avec eux leurs univers ont été effacés par les Omni-Rois. Il ne reste désormais plus que quatre univers survivants.
    En plein combat contre Vegeta, Katopesla de l’Univers 3 se fait soudainement éjecter du ring par une force invisible, et plusieurs attaques du même genre se répètent sur toute la surface de combat. Une situation périlleuse pour les participants, mais qui rend Quitela, le Dieu de la Destruction de l’Univers 4, plutôt hilare. Et pour cause, il mise sur ses combattants restants, Gamisaras, Shanza et Damon, pour semer le désordre et le trouble parmi leurs adversaires.

    L’Univers 4 est à l’honneur cette semaine. Enfin, à l’honneur, c’est vite dit. Y a foncièrement pas grand-chose à se mettre sous la dent ici. La réalisation technique est cette fois-ci très moyenne, et si le désespoir final de Quitela est réel, la mise en scène ainsi que la façon dont tout est expédié n’apportent pas à la dernière scène l’empathie suscitée par l’épisode précédent.

    On pourrait même en vouloir à l’Univers 4 d’avoir rapidement mis fin à ce qui aurait pu être un combat intéressant entre Vegeta et Katopesla en mode “Ultimate”, ainsi qu’avoir participé à la défaite d’un combattant important de l’Univers 7, même s’il avait visiblement usé beaucoup de sa force. C’est vraiment dommage, pour le coup, la tension de l’épisode 118 est retombée net !
    Quant à l’épisode 120, j’ai bien peur qu’il soit parti pour être du même acabit que celui-ci. Mais on peut au moins se réjouir d’une chose, après ça, c’est l’affrontement décisif !

    En rongeant son frein, à suivre.

    "With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
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    Cyril
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    Cyril le #487282

    Episodes 30-31 : là, c’était très mauvais, avec du pur remplissage, pour les flashbacks (en particulier dans le 30, qui allait assez loin dans le foutage de gueule en reprenant de longues scènes des 3 ou 4 derniers épisodes) et du blabla inutile. Seule la fin de l’épisode 31, avec le passage chez Zuno, sans être transcendante, était à sauver. Ca fait peu.

    Xanatos
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    Xanatos le #487289

    D’après tes critiques Cyril, Dragon Ball Super souffle le chaud et le froid, certaines bonnes idées des scénaristes étant gâchées par des évènements stupides.

    Heureusement que la “version télé” de La résurrection de F est moins éprouvante pour toi et développe certains moments expédiés ou pas évoqués dans le film.

    La série semble s’améliorer sensiblement à partir du moment où elle ne “remake” plus les deux derniers films (et plusieurs critiques positives  de d’autres fans rejoignent celles de Feanor qui a tout de même déjà cassé des éléments le décevant dans Dragon Ball Super ), j’espère pour toi que les épisodes inédits te satisferont bien davantage… Parce qu’au vu de certaines de tes critiques, le visionnage de la série s’apparente parfois à un véritable calvaire pour toi !

    En tout cas pareil que toi, à de rares exceptions près (South Park, Samurai Champloo ) j’ai horreur des épisodes “best of” qui recyclent paresseusement des scènes des épisodes précédents !

     

    Feanor-Curufinwe
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    Feanor-Curufinwe le #488480
    Dragon Ball Super
    Episode 120
    Kanpeki naru Seizon Senryaku !
    Dai San Uchû Kyôi no Shikaku !!
    La Stratégie de Survie Parfaite !
    La Menace de l’Assassin de l’Univers 3 !!
    “Seigneur Mosco a dit : “Il est temps de lancer le Plan X !””

    Malgré sa stratégie basée sur les attaques furtives, l’Univers 4 n’est pas parvenu à mettre hors-jeu l’Univers 7, et bien qu’ils aient réussi à éliminer quelques participants, dont Piccolo, ce sont eux qui ont été rayés de l’existence par les deux Zenô. Ne restent dorénavant plus qu’une dizaine de minutes et trois univers toujours en lice, les numéros 3, 7 et 11. Le groupe de l’Univers 3, composé de quatre robots et d’un ersatz de savant fou échappé d’un Robotto Anime de Gô Nagai, décide de s’attaquer en priorité à l’Univers 7, ce dernier étant encore le plus conséquent du tournoi actuellement.
    Afin de laisser son père et Vegeta retrouver leurs forces pour affronter ensuite l’Univers 11, Gohan décide de s’occuper seul de ce groupe. Seulement, ces derniers ne sont pas parvenus à tenir jusqu’ici par hasard, et même si C-17 et C-18 parviennent à se débarrasser de l’un d’entre eux, ils livrent un combat acharné même face à un Gohan en pleine possession de ses moyens. De plus, ils semblent sur le point de jouer une dernière carte, de sortir un atout ultime de leur jeu.

    Pas de grosse surprise cette semaine, l’épisode 120 suit la même voie que le 119, à savoir un balayage des derniers combattants anecdotiques restants, cette fois du côté de l’Univers 3. Cela dit, c’était tout de même plus intéressant à suivre que la semaine dernière, grâce à quelques points forts.
    D’abord, la combinaison C-17 / C-18 fait du beau boulot et retrouve ses vieilles habitudes en se moquant ouvertement de leur adversaire, et on nous rappelle fort judicieusement que les jumeaux cyborg ne connaissent pas la fatigue grâce à leur réserve d’énergie inépuisable. C’est le genre de détail qu’il est toujours bon de rappeler, surtout quand le contexte s’y prête à merveille, et que de leur côté, Vegeta et Son Gokû doivent jouer la montre pour pouvoir récupérer suffisamment d’énergie en vue d’affrontements ultérieurs.

    Autre détail appréciable, l’aspect “Gô Nagaiesque” de l’Univers 3, avec son scientifique au look délicieusement rétro et son trio de robots semblant sortir d’un énième Getter Robo du papa de Goldorak ! La diversité visuelle des différents univers dans DBS était un des points forts de cet arc du Tournoi de Puissance, mais c’est regrettable qu’elle n’ait pas plus été mise en avant, hormis pour quelques univers (comme celui de Ribrianne et ses Magical Girls).
    Enfin, Gohan est au devant de la scène et prend ses responsabilités en prenant la charge de (presque) tout l’Univers 3. Il fait de plus étalage de son sens de la stratégie, même si ça reste en deçà de ce que nous promettait l’avant-tournoi, c’est-à-dire un Son Gohan qui mène l’Univers 7 comme un chef de guerre. Ce n’est pas un drame non plus, parce qu’il a su tout de même se démarquer, mais pas comme je l’espérais.

    Grâce à ces quelques points, l’épisode apporte plus d’intérêt que son prédécesseur, malgré une réalisation en dents de scie et une mise en scène basique, dans laquelle de jolis plans en côtoient de très moyens. Et puis le final nous promet une seconde partie (oui, l’Univers 3 n’est pas totalement fini) qui forcera tout l’Univers 7 encore en jeu à participer plus activement au combat.

    A suivre !

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    Cyril
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    Cyril le #488656

    Dragon ball super 32 : du remplissage, plus ou moins rigolo ou innutile, selon les cas. Gros foirage en revanche avec Boo qui, au final, ne servira à rien dans le tournoi. Je ne vois pas l’utilité de teaser le personnage pour, au final, ne pas l’utiliser. D’autant plus que ce n’est ni la première (Freezer), ni la dernière fois.

    Dragon ball super 33 : depuis quand trop bouffer avant un combat gêne-t-il Son Goku. Il s’empiffrait bien avant ses matchs durant les deux premiers tournois des arts martiaux. Sinon, Frost est un assez bon personnage pour l’instant, avec son côté gentil et sa politesse hypocrite, assez proche de celle de Freezer.

    Feanor-Curufinwe
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    Feanor-Curufinwe le #489799
    Dragon Ball Super
    Episode 121
    Sôryoku-sen !
    Kyûkyoku no Yontai Gattai Versus Dai Nana Uchû Sôkôgeki !!
    Guerre Totale !
    L’Ultime Quadruple Fusion Contre l’Offensive Générale de l’Univers 7 !!
    “…”
    ”Attention chérie, ça va sépaleurer !”

    Koichiarator, le robot résultat de l’assemblage entre trois des participants mécaniques de l’équipe a été vaincu grâce à l’alliance de Gohan, Vegeta et Gokû. L’Univers 3 est vaincu, ou presque. Ne reste plus que Paparoni, le combattant savant fou. Alors que personne ne parie un kopeck sur ses chances de victoire, celui-ci sort un dernier atout de sa manche, ou plutôt de sa canne, et parvient ainsi à fusionner avec Koichiarator pour devenir un monstre surpuissant, “le guerrier ultime Anilaza” ! C-17 et C-18 décident d’épauler directement nos trois saiyens, mais même à cinq contre un, Anilaza se révèle redoutable et réussit à contrer leurs attaques synchronisées. Il s’en faut de peu pour que Gokû ne se fasse sortir de l’arène, sauvé in extremis par un Freezer qui finit également par se joindre au combat contre ce monstre, suite à la demande de son pire ennemi.

    A travers Anilaza, c’est à deux adversaires de grande envergure (par la taille) des films DBZ que cet épisode fait référence, à savoir Janemba et Hildegarn, issus respectivement des douzième et treizième films. De Janemba, Anilaza utilise la technique des “coups de poings warp”, et de Hildegarn, il tire quelques aspects physiques de son apparence, surtout lorsque des ailes lui poussent soudainement sur le dos. En dehors de cet aspect, pas grand-chose à redire sur ce monstre, ni à dire tout court d’ailleurs. C’est un monstre sans personnalité et muet qui tente de bouffer nos héros quand il n’essaie pas de les sortir de l’arène, chose pour laquelle il excelle d’ailleurs. Ainsi, si Gokû a bien failli y passer, un peu plus tard, C-17 aussi aurait pu être mis hors-jeu, si sa sœur n’avait pas décidé de se sacrifier à sa place.

    C’est avec leurs forces combinées, et l’instinct cyborg de C-17, que les cinq combattants restants parviennent à éjecter le monstre, et mettre fin à l’Univers 3. Et je l’aimais bien, cet Univers 3, en définitive. Mais je regrette cependant son manque de développement. J’aurais beaucoup aimé en savoir plus sur les combattants de cet univers, en particulier sur le Docteur Paparoni qui, sous ses airs de simple savant fou, paraissait plus complexe et intéressant que ça.
    Je ne sais pas comment cet arc va se terminer, mais maintenant qu’on est arrivé à la dernière ligne droite, j’espère que, d’une manière ou d’une autre on reverra une grande partie de ces personnages et qu’ils ne seront pas simplement jetés à la poubelle.
    Autrement, très bon travail d’équipe de la part de l’Univers 7, en particulier avec C-17 qui sait faire preuve de stratégie et d’intelligence en plein combat.

    Ce n’était pas un épisode mémorable en lui-même, mais il y a quand même eu de bons moments, avec un adversaire valable, dangereux, et qui sait varier ses attaques, ce qui rend ce combat attractif, dynamique et distrayant. On ne voit pas le temps passer et la réalisation technique était plutôt bonne, en dépit de quelques dérapages çà et là. Le prochain épisode promet beaucoup, quant à lui. Hâte de voir ça !

    A suivre !!

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    Cyril
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    Cyril le #489971

    Episode 34 : c’était globalement très sympa. Toujours un peu de blabla inutile entre spectateurs mais de bons échanges de fions, notamment entre les anges et leurs dieux de la destruction. Et surtout un excellent Frost. Une fois n’est pas coutume, il est bien plus réussi que dans le manga, où il n’est qu’un simple tricheur. Loin de son image de gentil, on découvre quelqu’un de fourbe, manipulateur et sans scrupule qui crée des conflits en sous-main pour en tirer profit et s’offrir une bonne image.

    Episode 35 : c’était moins bon, malgré le passage avec Frost et Hit qui hype bien ce dernier. Mais le combat entre Végéta et Magetta était assez nul, la faute en revenant en partie à des règles idiotes ajoutées sans réel motif.

    Cyril
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    Cyril le #489972

    Episode 34 : c’était globalement très sympa. Toujours un peu de blabla inutile entre spectateurs mais de bons échanges de fions, notamment entre les anges et leurs dieux de la destruction. Et surtout un excellent Frost. Une fois n’est pas coutume, il est bien plus réussi que dans le manga, où il n’est qu’un simple tricheur. Loin de son image de gentil, on découvre quelqu’un de fourbe, manipulateur et sans scrupule qui crée des conflits en sous-main pour en tirer profit et s’offrir une bonne image.

    Piccolo a aussi eu un bon moment de gloire, avec un combat stratégique bien mené. Même si, en terme de rapport de force, c’est encore une fois incohérent puisque Piccolo devrait être bien plus fort que quelqu’un de similaire à Freezer sur Namek.

    Episode 35 : c’était moins bon, malgré le passage avec Frost et Hit qui hype bien ce dernier. Mais le combat entre Végéta et Magetta était assez nul, la faute en revenant en partie à des règles idiotes ajoutées sans réel motif.

    Cyril
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    Cyril le #490037

    DBS 36 : techniquement, c’était bien sympa, malgré des concepts idiots comme la barrière ou le personnage qui s’écroule à cause des insultes (ce genre de gag aurait pu marcher au début de Dragon Ball). Le duo Vamos-Champa me fait toujours rire.

    DBS 37 : là, c’était l’inverse. Réalisation molle (notamment le design de Cabe, beaucoup trop frêle, et tous les échanges de coup, sans aucun punch) mais la relation entre les deux sayans est sympa et donne envie d’en voir davantage sur cet univers, et notamment de voir Végéta s’y rendre.

    Feanor-Curufinwe
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    Feanor-Curufinwe le #490126
    Dragon Ball Super
    Episode 122
    Onore no Hokori wo Kakete !
    Vegeta Saikyô he no Chôsen !!
    Pour sa Propre Fierté !
    Le Défi de Vegeta pour être le Plus Fort !!
    “Je peux voir tes coups !”

    Anilaza, produit de la fusion entre le professeur Paparoni et Koichiarator de l’Univers 3, a tenu tête aux combattants de l’Univers 7, mais en vain. A présent, à moins d’une dizaine de minutes de la fin du Tournoi de Puissance, il ne reste plus que l’Univers 7 et l’Univers 11 en lice pour remporter le droit de survivre à l’éradication décidée par les Zenô.

    Du côté de l’Univers 7, Son Gokû, Vegeta, Son Gohan, Freezer et C-17. Du côté de l’Univers 11, Dyspo, Toppo et Jiren. Alors que Gokû et Jiren commencent à s’affronter, Vegeta prend son compatriote saiyen de court et s’attaque directement à son adversaire. Trop confiant, Jiren est lui aussi pris de court lorsque le prince saiyen parvient à éviter ses coups et à lui en administrer d’autres. Serait-il lui aussi sur le point d’atteindre l’éveil, le Migatte no Gokui ?

    D’abord, l’évidence : Quand à la réalisation vous avez les deux meilleurs talents de la série, le jeune fan de la période DBZ Yuya Takahashi (on le voit à son style copiant celui de Keisuke Masunaga, ce qui m’avait induit en erreur dans l’épisode 114 d’ailleurs) en tant qu’animateur clé et le vétéran Naotoshi Shida (un grand habitué de la licence puisqu’il s’est occupé de bon nombre des films) au storyboard, c’est une porte ouverte que vous enfoncez lorsque vous déclarez qu’il s’agit là d’un des plus beaux épisodes de la série. Mais il faut bien le dire, quand même. C’est à partir de la seconde partie, une fois que l’on a fini de tourner autour du pot, que l’animation, le chara-design et la BO vous explosent à la tronche. Voilà, c’est dit, cet épisode est de toute beauté.

    Même s’il faut attendre la seconde partie pour que ça pète de toutes parts, on n’a pas l’impression que ça va trop vite, pourtant. Le truc, c’est que chaque combattant encore présent dans le tournoi a son moment à lui ici, même si c’est Vegeta et Jiren qui occupent toute l’attention. Freezer affronte Dyspo, tandis que Gohan et C-17 s’unissent contre Toppo, et eux aussi profitent d’une réalisation de haute volée.

    En fait, seul Gokû fait tapisserie, mais seulement après une jolie passe d’armes nerveuse qui est aussi l’occasion de nous en apprendre plus sur le guerrier Jiren, sur ses motivations au combat. C’est une belle scène, mais paradoxalement c’est graphiquement la moins réussie de l’épisode. Heureusement, elle sert de prologue à cette finale du tournoi, un amuse-gueule avant que Vegeta ne se mette à bondir comme un tigre sur sa proie, étonnant autant Gokû que Jiren. Et elle est aussi l’occasion d’un effet miroir lorsque le saiyen se lance lui aussi sur ce qui le motive, se distinguant de son éternal rival en mettant en avant sa fierté de saiyen. A-t-il atteint le Migatte no Gokui ? Difficile à dire, mais il est certain qu’il sait quel est pour lui le déclencheur de sa soif de puissance, et il prouve ici que cette fierté lui permet d’atteindre des sommets.
    La fin de l’épisode nous renvoie intelligemment à son duel contre Cell, mais j’ai beaucoup de mal à croire que l’issue sera la même, bien que Jiren dégage une impression de puissance aussi effrayante que Perfect Cell à l’époque.

    C’était un épisode calibré comme il faut, suffisamment rythmé, tendu et nerveux pour ouvrir la dernière ligne droite, tout en sachant jusqu’où aller pour frustrer le spectateur et lui donner envie de voir la suite ! C’était beau, mais vraiment, c’était jouissif et pas expéditif, c’était à couper le souffle, c’était autant généreux qu’avare !

    À suivre !!!

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    Cyril
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    Cyril le #490136

    DBS 38 : tiens, un seul inédit sur NT1 aujourd’hui : ils approchent de la fin de leur stock ?

    Bon, sinon, c’était bien sympa : en attaquant directement, sans subtilité, Végéta se fait dégommer en beauté. Son Goku se montre plus efficace : il faut dire qu’il a vu le combat précédent et que Jaco et le poulpe lui ont expliqué le pouvoir de Hit – sans être très clairs d’ailleurs : bon dans le temps ou arrêt du temps à la Ghourd ? – mais il bénéficie aussi d’un meilleur sens stratégique que Végéta, ses combats de jeunesse et ses différents maîtres l’ayant poussé à ne pas compter que sur la force brute sur laquelle Végéta se repose trop.

    Hit est un bon adversaire, qui en impose même après que son pouvoir ait été dévoilé. Ca nous fait un bon combat pour l’instant.

    Feanor-Curufinwe
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    Feanor-Curufinwe le #490382
    Dragon Ball Super
    Episode 123
    Zenshin Zenrei Zenryoku Kaihô !
    Gokû to Vegeta !!
    Libération de la Pleine Puissance du Corps et de l’Esprit !
    Gokû et Vegeta !!
    “Pour Jiren, ce n’était qu’un simple coup de poing.”

    Face à Jiren, Vegeta a commencé à déployer une puissance nouvelle, mais comme Gokû partiellement éveillé au Migatte no Gokui, cela n’a pas suffi à vaincre son adversaire de l’Univers 11. Pire, la riposte de ce dernier l’a littéralement assommé, tandis que Freezer, Son Gohan et C-17 semblent éprouver des difficultés face à Dyspo et Toppo. Gokû se retrouve seul contre Jiren et celui-ci ne donne même pas l’impression d’être fatigué. S’il veut parvenir à le déstabiliser, il n’a pas d’autre choix que de l’affronter au corps à corps, mais encore faut-il parvenir à trouver une faille dans sa garde.

    Alors qu’au sortir de l’épisode 122 on pouvait penser s’attendre cette semaine à un épisode encore centré sur Vegeta, le montrant se surpassant et affrontant Jiren avec sa nouvelle puissance, il se trouve que finalement l’attention est plutôt portée sur Jiren. Cela dit, Vegeta brille aussi (littéralement même), mais il le fait en tandem avec Gokû.
    Le prince Saiyen, comme le dit le Grand Prêtre, a “brisé sa coquille”, le processus semblant avoir été déclenché en partie par sa fierté et le souvenir de sa promesse envers Cabbe. Toujours est-il que ce n’est pas le point principal de cet épisode, bien qu’il garde toute son importance pour les futurs épisodes évidemment.

    On peut en dire autant de Gokû d’ailleurs. Certes, il n’atteint pas “l’Ultra Instinct” ici, mais il fait preuve d’un sens de la stratégie qu’on n’a pas souvent l’habitude de voir chez lui, bien qu’il ne soit pas non plus inexistant. Ainsi, il cherche à atteindre Jiren par des moyens détournés, des techniques de guérilla même ! C’est un aspect de sa personnalité suffisamment rare pour qu’on prenne vraiment plaisir à y assister. Et pourtant, ce n’est pas non plus le point principal de l’épisode.

    La force première de cet épisode, c’est Jiren. Certes, depuis le début du tournoi il dégage une aura impressionnante de combattant redoutable, et il a prouvé à plusieurs reprises qu’il n’était pas à prendre à la légère. Mais là, il a passé un autre palier. Il semble imperturbable, inébranlable et invincible même. Le voilà faisant face à deux hommes qu’il reconnaît lui-même comme étant de redoutables guerriers, et à aucun moment il ne donne l’impression d’être en difficulté, ni même de se donner à fond. Gokû et surtout Vegeta se donnent à 100 %, ce dernier ayant même atteint un état supérieur, mais aucun d’entre eux ne dégage autant de surpuissance que Jiren lorsqu’il assène de simples “coups de poing”. L’analogie avec One Punch Man est une fois de plus parfaitement justifiée. Et dans l’univers de Dragon Ball, ça a une résonance encore plus forte. Quand le Shônen phare qui a modernisé le genre rencontre à la fois l’un de ses héritiers et, peut-être, le nouveau modèle du genre, ça raconte pas mal de choses ! Alors, on cohabite ou on se balance des pains à la tronche jusqu’à ce qu’un camp l’emporte ? Réponse à la fin de l’arc !

    A suivre !!!

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    Cyril le #490394

    Episode 39 : techniquement, c’était top. Hit est vraiment un excellent adversaire, puissant et charismatique et on a droit à d’excellentes scènes de combat, avec son saut temporel comme avec le kaïoken de Goku, sans que les remarques des spectateurs ne hachent trop l’action. Le problème vient cependant, encore une fois, du scénario et des explications tarabiscotées données aux différents power-ups.

    D’abord, l’évolution. Pourquoi cela serait-il une caractéristique des saiyans. A part au début de Dragon Ball, dans les 2 premiers tournois des arts martiaux, je n’ai pas vraiment de souvenirs de saiyans évoluant en puissance au cours du combat autrement que par de brusques power ups dus à la colère ou par la révélation progressive des fruits de leur entraînement. Pendant son combat contre Freezer et avant sa transformation, Son Goku ne devient pas de plus en plus fort. Il se contente de dévoiler progressivement toutes ses cartes.

    Ensuite, le kaioken qu’on nous ressort de derrière les fagots alors que Toriyama l’avait abandonné, sans explication d’ailleurs. Ici, on nous dit que c’est parce qu’il fatigue le corps (OK) et parce que le super saiyan le fait également : là, pas OK. Ca n’a jamais été dit ou même suggéré dans le manga avant. Une fois la première transformation passée, les personnages passent d’un état à l’autre sans que ça semble les fatiguer et Gohan et Goku restent dans cet état pendant une dizaine de jours.

    Dommage que les problèmes scénaristiques, notamment en matière de puissance et de rapports de force, plombent autant le dessin animé qui a par ailleurs de bonnes idées et parfois de très belles scènes.

    Feanor-Curufinwe
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    Feanor-Curufinwe le #490456

    Je ne trouve pas les deux exemples dont tu parles tarabiscotés ! ^^
    On est d’accord, la saga Dragon Ball a toujours connu des passages un peu alambiqués, sans que cela me fasse sortir du plaisir du visionnage, en ce qui me concerne. Ce n’est pas une première, sans chercher bien loin, on trouvera toujours quelque chose à redire sur la logique des évènements.
    Je ne sais pas si j’ai montré ici la vidéo du chef otaku sur “Dragon Ball Z version logique”, mais elle résume bien la situation ! ^^

    Mais dans ces cas présents, il n’y a rien qui me choque. D’abord, les saiyens ont toujours été dépeints comme un peuple spécialisé dans le combat. Et ça remonte à un peu loin, mais le combat entre Hit et Gokû ne me donne pas l’impression que ce dernier gagne en puissance au cours de celui-ci.
    Pour le Kaiôken, je trouve que c’est une bonne trouvaille. Peu importe la raison donnée dans l’histoire (qui reste pertinente, Vegeta, lors de la période Cell, après la sortie de Gokû et Gohan de la salle de l’esprit et du temps, explique que la transformation en super saiyen en elle-même, pas l’état, a des répercussions sur leur corps, et le vieux kaiôshin dit aussi que la transformation en super saiyen n’est pas une bonne chose), au niveau scénaristique, c’est compréhensible. Pourquoi utiliser le kaiôken quand tu peux te transformer en SS2 ou SS3 ?
    Alors que, juste visuellement, ça a déjà de la gueule le kaiôken en super saiyen blue (le rouge sur bleu), et l’état de SSB n’est pas le même que celui de simple super saiyen. J’aime beaucoup cette idée de réutiliser des concepts abandonnés.

    Autrement, je voulais aussi passer cette vidéo de Tonton Benzz, qui est assez juste

    Edith : Et merde… c’est vrai qu’on ne peut plus éditer ses messages après un certain temps ici… -_-
    Je vais placer ici mes images pour ma revue de l’épisode 123, histoire de…



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    Feanor-Curufinwe
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    Feanor-Curufinwe le #490624
    Dragon Ball Super
    Episode 124
    Shippû Dotô no Môshyû
    Gohan Hai Sui no Jin !!
    Un Assaut Effroyablement Violent !
    L’Abnégation de Gohan !!
    “Diantre. Est-ce là toute votre vitesse, Monsieur Dyspo ?”

    Jiren est décidément un adversaire redoutable. Gokû et Vegeta ont beau dépasser leurs limites, lui, bien que mis en difficulté, semble toujours garder des forces en réserve. Du côté de Freezer, son adversaire, le véloce Dyspo, continue de le dominer par sa vitesse exceptionnelle. L’ex-tyran maléfique lui propose alors une alternative : Malgré la puissance écrasante de Jiren, il n’est pas dit que celui-ci puisse mettre Gokû et Vegeta hors-jeu dans le court laps de temps qu’il reste au Tournoi de Puissance, et Dyspo n’est pas assez fort selon lui pour l’emporter dans leur duel. A cinq contre trois, c’est l’Univers 7 qui est en bonne voie pour survivre. Mais si Dyspo promet de le ressusciter avec les Super Dragon Ball, il aidera l’Univers 11 à remporter la victoire.
    S’agit-il d’une véritable proposition ou d’un énième piège de Freezer ? Toujours est-il que Dyspo refuse catégoriquement l’accord, hors de question de négocier avec le mal ! Il utilise alors ses dernières ressources et déploie une force et une vitesse supérieure, face à Golden Freezer. Voyant qu’il est en difficulté, Gohan intervient pour lui porter secours, laissant C-17 seul face à Toppo. A-t-il pris la bonne décision ? Ne risque-t-il pas d’être trahi par Freezer ?

    C’est le combat Dyspo contre Freezer qui occupe les attentions cette semaine, mais c’est avec l’intervention de Son Gohan que les choses deviennent intéressantes. La série continue de jouer sur l’ambiguïté avec l’ennemi passé (?) de Gokû, qui s’amuse visiblement à faire douter ses camarades sur sa loyauté envers l’Univers 7. Mais après tout, c’est bien son genre de tout tenter pour survivre quelle que soit la conclusion. Gohan n’y va pas par quatre chemins, il sait qu’il peut lui faire confiance dans le cadre du tournoi, mais l’avertit tout de même, en cas de trahison il le mettra hors-jeu lui-même.

    Et dans cette joyeuse ambiance de camaraderie, c’est Dyspo qui semble le plus héroïque, sans grande surprise. Je pensais qu’il serait facilement mis hors-jeu, mais il est plus coriace qu’il n’en avait l’air jusqu’ici et sa force véloce pose beaucoup de problèmes, ce qui amène au final de l’épisode que personnellement, je n’avais pas vu venir (du moins pas avant d’avoir vu ledit épisode).

    Reste qu’au bout du compte, le lapinou véloce n’est pas l’attraction principale mais juste un élément déclencheur, celui qui amène les choses, à savoir la relation de Freezer au sein de l’équipe Univers 7. Resté à l’écart du groupe la majorité du temps, il n’inspire pas plus confiance que ça à ses alliés, et lui semble trouver cela amusant. Et vu qu’il n’arrête pas de jouer au jeu de “celui qui peut trahir à tout moment mais en fait non”, il faut s’attendre à ce que ça arrive, évidemment. Mais que cela arrive ou pas, Freezer est un élément intéressant dans cet arc, car il apporte le danger, l’aspect imprévisible, le piment au sein de l’équipe. Il relève le plat.

    A suivre !

    "With the first link, the chain is forged. The first speech censured, the first thought forbidden, the first freedom denied, chains us all irrevocably." -Jean-Luc Picard
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    Cyril
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    Cyril le #490637

    ” le combat entre Hit et Gokû ne me donne pas l’impression que ce dernier gagne en puissance au cours de celui-ci.”
    Non. Mais c’est Végéta qui dit que les saiyans gagnent naturellement en puissance au cours des combats et s’étonne que Hit y parvienne aussi. Le problème est dans le “aussi” puisque, à part aux débuts de Dragon Ball, on n’a pas vu ce phénomène.

    “Pour le Kaiôken, je trouve que c’est une bonne trouvaille. Peu importe la raison donnée dans l’histoire (qui reste pertinente, Vegeta, lors de la période Cell, après la sortie de Gokû et Gohan de la salle de l’esprit et du temps, explique que la transformation en super saiyen en elle-même, pas l’état, a des répercussions sur leur corps, et le vieux kaiôshin dit aussi que la transformation en super saiyen n’est pas une bonne chose), au niveau scénaristique, c’est compréhensible. Pourquoi utiliser le kaiôken quand tu peux te transformer en SS2 ou SS3 ?”

    Ce sont des remarques qui ne reposent pas sur des faits vus dans le manga : on n’a jamais eu l’impression que les saiyans se fatiguaient après s’être transformés. Et justement, Goku et Gohan avaient su surmonter cet éventuel défaut : dans son combat contre Cell, ne pouvant pas se transformer en Super sayan 2, Goku aurait justement pu utiliser ce kaïoken pour se mettre à la hauteur de son adversaire. Et même à ces débuts, c’était plus une progression en terme d’apprentissage de technique que de puissance.

    Episode 40 : très inégal, comme d’habitude, notamment quand on le compare au manga. Ca palabre pas mal pour rien (notamment le débat entre les deux dieux sur les règles) mais à côté, il y a d’excellentes choses, comme les piques entre anges et dieux et surtout la colère de Champa à la fin de l’épisode, et le fait que Zéno la stoppe par sa simple apparition lui donne une aura certaine. Les derniers échanges entre Goku et Hit étaient sympas mais l’arrêt de leur combat trop brusque et Monaka reste une idée assez pourrie, je trouve.

    Feanor-Curufinwe
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    Feanor-Curufinwe le #490662

    “Ce sont des remarques qui ne reposent pas sur des faits vus dans le manga : on n’a jamais eu l’impression que les saiyans se fatiguaient après s’être transformés. Et justement, Goku et Gohan avaient su surmonter cet éventuel défaut : dans son combat contre Cell, ne pouvant pas se transformer en Super sayan 2, Goku aurait justement pu utiliser ce kaïoken pour se mettre à la hauteur de son adversaire. Et même à ces débuts, c’était plus une progression en terme d’apprentissage de technique que de puissance.”

    Je ne parle pas de fatigue mais de “corps éprouvés”. ça n’a pas de rapport avec la colère ou l’état de nervosité qu’apporte le fait d’être super saiyen, c’est un autre symptôme qui est évoqué à deux reprises dans le manga. C’est pareil à mon sens que lorsque Piccolo Daimaô dit que se battre à pleine puissance raccourcit sa durée de vie. ça n’a aucun impact sur les combats, ça donne juste un côté “à part” au combattant.
    Lors du Cell Game, Gokû a décidé de garder la transformation super saiyen sans être troublé, pour permettre à Gohan de pouvoir s’énerver en super saiyen et donc devenir super saiyen 2. C’est la seule raison d’être de cet état quotidien de super saiyen, qui n’est par la suite plus utilisé.

    Mais de toute façon, les incohérences dans Dragon Ball c’est du même niveau que celles dans JoJo’s Bizarre Adventure, on sait qu’elles existent mais elles ne gênent que si on décide de leur donner de l’importance.
    Et à mes yeux c’est trop minime, surtout en comparaison du plaisir éprouvé face à la transformation, que ce soit en terme esthétique ou scénaristique.
    Le seul défaut qui me gêne dans DBS, c’est que parfois l’échelle de puissance entre les perso est fluctuante, et que Gokû utilise un peu trop souvent sa transformation en SSB, là où le simple super saiyen suffirait amplement.

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    Cyril
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    Cyril le #490855

    Les incohérences dans Dragon ball (surtout sa partie Z ; en fait, il n’y en a pas tant que ça dans Dragon ball) m’ont toujours gêné parce qu’elles rendent souvent incohérente la course à la puissance qui, au bout d’un moment, finit par devenir le principal moteur du manga. Ca ne date effectivement pas de Super même si la nouvelle série y va assez fort dans ce domaine.

    “Lors du Cell Game, Gokû a décidé de garder la transformation super saiyen sans être troublé, pour permettre à Gohan de pouvoir s’énerver en super saiyen et donc devenir super saiyen 2. ”

    Pour moi, cette évolution, c’est surtout pour pouvoir dépasser le stade “gros muscles” de Végéta et Trunks. Mais effectivement, comme beaucoup d’autres choses dans le manga (la transformation en gorille, le zenkaï, le kaioken…), ça n’est plus utilisé ensuite, et sans aucune explication.

    Super essaie d’en donner parfois ; mais se casse souvent la gueule là-dessus (pour prendre un autre exemple que le kaïoken, dans le troisième tome du manga, il y a l’explication de l’abandon du zenkaï par Trunks qui n’est pas vraiment convaincante).

    Feanor-Curufinwe
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    Feanor-Curufinwe le #490858

    Le truc avec les incohérences, c’est que chacun a sa sensibilité sur la chose et réagira différemment. Moi, le seul truc qui me gêne, c’est dans la période Cell, pourquoi Trunks version future a voulu revenir un an avant sa première arrivée dans la série (la machine dans laquelle c’est finalement Cell qui est arrivé dans le présent) ? Personne ne le connaissait alors, et je n’arrive pas à me contenter de l’explication donnée dans le manga (à savoir qu’il voulait, selon Piccolo, annoncer à tout le monde qu’il avait tué les cyborg… mais personne ne les connaissait ni lui ni les cyborg…).

    Je n’ai pas encore lu le troisième tome de DBS, sinon, mais j’en parlerai quand ce sera fait.
    Sinon, tout le monde le sait, mais la série animée DBS se terminera à la fin de l’arc actuel, à l’épisode 133, si je me souviens bien. Il y a eu beaucoup de spéculations autour de la chose, et je pencherais pour la théorie de la pause annuelle, histoire d’avoir une bonne équipe autour de la production du film qui sort en fin d’année (consacré aux saiyens). Mais ça ne veut pas pour autant dire que DBS reprendra. Je vois bien une nouvelle série, qui se déroulerait quelques années plus tard, et qui remplacerait officiellement la chronologie télévisuelle, et DBGT en particulier. Ce serait dommage de ne plus avoir l’occasion d’exploiter le Migatte no Gokui et Freezer, quel que soit son destin à la fin du tournoi.

    Autrement, depuis l’été dernier, je me revois la saga dans son intégralité. J’ai commencé avec Dragon Ball, j’en suis actuellement à DBZ, avec l’arc Cyborg / Cell (Cell vient de faire son apparition), puis après avoir terminé DBZ, j’attaquerai DBGT (que je verrai pour la première fois en VO, d’ailleurs ! 😀 ), et enfin DBS.
    J’avais d’ailleurs dit il y a un bail que mon arc préféré de l’oeuvre était celui des saiyens / Freezer, et c’est toujours le cas. Mais en version animée, je dois dire que c’est l’arc Cyborg / Cell mon préféré. Mieux rythmé, moins ralenti par les filler (mais y en a quand même, hein, Marron et son défilé de pétasse avec sa basse-cour de jeunes mâles en rut sur l’île de Tortue Géniale, ainsi que les nombreux apartés de Gokû sur son lit de malade, entre autres…), et globalement bien plus agréable à l’oeil ! 😀

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